Louis-Philippe Ier, Armand Carrel et l’assassinat de Ney, par Rogat, 1835 Paris
Louis-Philippe Ier, Armand Carrel et l’assassinat de Ney, par Rogat, 1835 Paris.
A/ Tête d’Armand Carrel à gauche ; au-dessous : E. ROGAT/ 1835 D’APRÈS P. J. DAVID.
R/ Dans le champ, en douze lignes : SI PARMI/ LES MEMBRES/ DE CETTE CHAMBRE IL EN EST UN/ QUI SOIT BLESSÉ DE MES PAROLES/ QU’IL ME DÉNONCE ET M’APPELLE/ A CETTE BARRE/ J’Y COMPARAITRAI, ET JE SERAI FIER/ D’ÊTRE LE PREMIER HOMME/ DE LA GÉNÉRATION DE 1830/ QUI VIENDRA PROTESTER ICI/ CONTRE UN ABOMINABLE ASSASSINAT.
Coll.1097
Bronze – 37,28g – 42,0mm – 12 h.
SUP+
Le revers rapporte la phrase prononcée par Armand Carrel lors de la séance du 16 décembre 1834 à la Chambre des Pairs, au cours de laquelle le jeune journaliste accusa celle-ci d'avoir assassiné Ney
- Date : 1835
- Atelier : Paris
- Métal : Bronze
- Poids : 37,28 g.
- Diamètre : 42 mm.
- Axe : 12 h.
